Raisons pour lesquelles la discrétion est importante pour un travailleur du sexe

Si vous êtes un travailleur du sexe, vous connaissez l’importance de la discrétion. Elle est un élément crucial de la sécurité professionnelle et de la sécurité du travailleur du sexe. Sans discrétion, il vous est presque impossible de protéger la vie privée de vos clients. Un manque de discrétion peut conduire à la « crimmigration » et même à la prison. Aux États-Unis, par exemple, peu de travailleurs du sexe sont arrêtés et font l’objet de poursuites judiciaires. Les rares qui sont arrêtés ne sont souvent même pas poursuivis ou même traduits en justice.

L’escorte/dominatrice BDSM du travailleur du sexe

La discrétion du travailleur du sexe est un facteur très important. Un travailleur du sexe doit être capable de faire preuve de discrétion lorsqu’il interagit avec des clients et en privé. Il est également important d’avoir une bonne relation avec les clients. En général, les travailleurs du sexe ont une connaissance intime des désirs de leurs clients. Toutefois, cela ne signifie pas qu’ils doivent devenir des confidents. Un travailleur du sexe ne doit pas recourir à la force pour obtenir un rapport sexuel.

Si la discrétion est votre priorité absolue, vous pouvez trouver une escorte/dominatrice BDSM qui a reçu une formation professionnelle. Cela vous évitera d’avoir affaire à la police et aux fous. Les escortes/dominatrices professionnelles peuvent souvent demander jusqu’à 800 dollars de l’heure.

Le « whorearchy » des travailleurs du sexe

Le « whorearchy » du travail du sexe est un système qui place les femmes au bas de la hiérarchie. Ce système est souvent raciste et misogyne, et il affecte les femmes de tous horizons.

La création de ce système a été imputée au désir des travailleurs du sexe de se conformer aux normes sociales. Qu’il s’agisse de fournir un simple service sexuel ou d’offrir une expérience exigeante de star du porno, les travailleurs du sexe se classent les uns les autres et se créent une « whorearchy ».

Les droits des travailleurs du sexe en tant que victimes

L’industrie du sexe fait l’objet d’une attention croissante grâce aux politiques de lutte contre la traite des êtres humains. Si ces politiques ont eu tendance à se concentrer sur l’activité criminelle, les organisations de défense des droits des travailleurs du sexe ont tenu leur place à la table des négociations. Un début improbable d’effort collectif a eu lieu en février 2014 lorsque des travailleurs du sexe ont protesté lors d’un événement pour demander la fin du travail sexuel illégal. Le chercheur et l’organisateur de l’événement n’étaient pas au courant de la présence des travailleurs du sexe.

Le climat social et politique est un facteur important dans la décision des travailleurs du sexe de signaler leurs abus. Cela est dû en grande partie à la presse négative généralisée sur l’industrie du sexe, ainsi qu’à la stigmatisation associée au travail du sexe. Afin de lutter contre ces graves préjudices, la police et les travailleurs du sexe doivent travailler ensemble.

La crainte des travailleurs du sexe de se présenter à la police

La peur de se présenter à la police est un obstacle important pour de nombreux travailleurs du sexe. Non seulement ils hésitent à signaler une activité sexuelle, mais ils craignent d’être accusés à tort. Cela peut compliquer l’interaction avec la police et entraver la collecte de preuves. Mais il est important de noter que ces préoccupations ne doivent jamais justifier la violence à l’encontre des personnes qui consomment des substances.

Une étude récente du NUM montre que les travailleurs du sexe craignent de se présenter à la police et sont souvent réticents à le faire, car cela les stigmatise. Il est donc essentiel que la police se penche sur cette question et améliore sa discrétion dans ce secteur. Le NPCC dispose de lignes directrices qui peuvent aider la police et les travailleurs du sexe à établir une relation.

L’expérience des travailleurs du sexe en matière de criminalisation

La criminalisation du travail du sexe a un certain nombre d’implications. Elle prive les travailleurs du sexe de la protection de leurs droits et porte atteinte à leur sécurité, leur santé et leurs droits humains. Elle empêche également les travailleurs du sexe de s’exprimer et de défendre leurs droits. En outre, elle les empêche de se syndiquer et de demander de l’aide aux autorités. Il faut donc mettre un terme à la criminalisation du travail du sexe.

Alors que les partisans de la PECPA prétendent que la criminalisation réduira les abus et la criminalisation des travailleurs du sexe, la réalité est différente. Alors que les travailleurs du sexe sont contraints d’adapter leur comportement pour assurer leur sécurité, ils continuent de subir des abus et des violences. Certains se réfugient dans des endroits reculés ou travaillent seuls pour éviter le harcèlement et la surveillance de la police. Beaucoup déclarent également avoir recours à diverses autres méthodes pour éviter la surveillance policière et d’autres formes de violence interpersonnelle.